J 24 – 30 mars 2013 – Azerbaidjan
Gérard dépose son véhicule au garage et ensuite nous prenons un taxi qui nous conduits au départ du funiculaire desservant les hauteurs de la ville. Il est 9 h 15 et son départ est prévu à 10 h. Allons-y pour quelques dizaines de marches d’escalier, il pleuviote et la température est fraîche d’autant que le vent ne fait pas relâche.
Au sommet de la colline :
Panorama sur la ville
Mosquée édifiée par la Turquie
Allée des martyrs et gloriette dotée d’une flamme perpétuelle
Cimetière des héros et des anonymes
Trois tours illuminées durant la nuit
L’émouvante allée des martyrs : des dizaines de tombes en marbre noir où sont enterrées les victimes des massacres du 20/01/1990 perpétrés par les troupes russes lors de la guerre d’indépendance et celles du conflit non résolu du Haut-Karabagh avec l’Arménie voisine.
Le complexe immobilier et touristique en trois parties –Baku Flame Towers- en forme de flammes, teinté de bleu le jour et animation nocturne : flammes orangées, bandes aux couleurs nationales, hommes en mouvement agitant le drapeau azéri. Ces tours symbolisent une ville riche née du feu (le nom d’Azerbaïdjan signifie terre de feu éternel).
Le funiculaire n’étant toujours pas en fonction, nous faisons la descente à pied : Gérard retourne au garage où les ouvriers changent le maître cylindre du moteur avec professionnalisme et rapidité. Pendant ce temps, je fais le parcours d’ un autre symbole de la ville : le « Bulvar », une vaste promenade aux rambardes en marbre blanc dotée de restaurants, manèges et jeux d’enfants, circuit en gondoles, théâtre de marionnettes, jardin de cactées, centre commercial … rendez-vous incontournable des grands et des petits, de la jeunesse estudiantine, des sportifs ...
Un regret pour avoir manqué d'à propos : la visite quelques musées –nombreux à BAKOU comme celui d’histoire ou celui des tapis et arts appliqués.
Gérard arrive à la nuit tombée avec son véhicule réparé.